teknival le 5 et 6 juillet ????

coucou amis teufeurs
il y a environ deus semaines de un des quotidiens de nantes un article est paru avec pour titre : teknival le 5 et 6 juillet à environ 100 km de nantes est prevu, 30 000 teufeurs devraient etre attendu !!!
depuis ca je n ai entendu parlé de rien alors petite question a vous collègues, seriez vous au courant de kkchoz?????????
merci beaucoup

Va voir a Teknivalle de bretagne tu y trouvera tes réponses.

J'ai reçu cette alerte de UFOT en ce qui me concerne :

Citation :

teknival 14 july 2008 france pure underground

teknival le 5 et 6 juillet dans le 44 à frossay cite le carnet.
si barage de flic les sons seront dispersés dans tout le département.

1 bon pti tekos en bretagne ça va klaké ça !!!!!! ya qui qui pose a ce tekos!!!

Teknival à Frossay : les « teuffeurs » croisent le fer avec le préfet
Chaude ambiance ! Le collectif Korn'g heol a engagé un bras de fer avec la préfecture pour obtenir l'autorisation d'organiser une grande fête techno en Loire-Atlantique les 5 et 6 juillet prochains. : Archives Bertrand BéchardChaude ambiance ! Le collectif Korn'g heol a engagé un bras de fer avec la préfecture pour obtenir l'autorisation d'organiser une grande fête techno en Loire-Atlantique les 5 et 6 juillet prochains. : Archives Bertrand Béchard
Un collectif projette d'organiser une grande fête techno sur le site du Carnet, à Frossay, les 5 et 6 juillet. Veto du préfet, qui refuse d'être « co-organisateur de la manifestation ». Barouf et bras de fer.
Leur nom vaut pour programme. Le collectif Korn'g heol cherche un « petit coin de soleil » (« Korn'g heol » en breton) pour faire la fête en Pays de la Loire.

« Aucune grande fête techno n'a eu droit de cité dans la région depuis 2003, déplore un organisateur. À chaque fois, on essuie un refus. On n'a jamais été accueilli à bras ouverts mais là, le ton s'est vraiment durci. »

Histoire de forcer le destin, le collectif a décidé d'organiser le Teknival d'été (35 000 personnes rassemblées sur l'aéroport de Saint-Brieuc l'an passé, sur fond de grosse polémique) sur le site du Carnet, à Frossay, les 5 et 6 juillet.

Les organisateurs tablent sur plus de 20 000 « teuffeurs ».

Et sur la participation d'une quarantaine de « sound systems », ces groupes qui « crachent le son » à grand renfort de platines vinyles et d'enceintes surpuissantes.

De graves « carences » dans l'organisation selon la préfecture

Problème de taille : le préfet a mis son veto. « Pas d'accord sur la taille du festival, indique-t-on en préfecture. 20 000 personnes, c'est trop. » Les engagements des organisateurs en matière de sécurité et de nettoyage du site sont jugés « insuffisants, voire nuls ». « L'État n'entend pas être co-organisateur de la manifestation », précise l'entourage du préfet.

« On veut nous rayer du paysage »

« Demander le soutien de la gendarmerie et des pompiers pour organiser une telle manifestation, ce n'est quand même pas aberrant », rétorque un organisateur. Tout se passe comme si on voulait obliger les «free parties» (Ndlr : fêtes techno) à se professionnaliser et à se rapprocher de l'organisation des festivals classiques. Mais c'est ignorer notre culture qui est justement basée sur le côté amateur, bénévole et gratuit des soirées. En clair, on veut nous rayer du paysage... »

Feu vert exigé

Le collectif promet qu'il ne cédera pas. Le Teknival est maintenu. « Il faut que la préfecture change de position, assène-t-on. On aspire à un arrangement plutôt qu'à la bagarre. Plus le feu vert sera donné tardivement, plus ça coûtera cher. Un festival de ce type, bien géré en amont, mobilise 50 000 à 100 000 €. Si c'est mal géré, la facture peut s'élever à 700 000 €. Un seul exemple : quand on s'y prend à la dernière minute, les prestataires font exploser la location de sanisettes... »

Jeu du chat et de la souris ?

La préfecture réplique qu'elle n'hésitera pas à fermer l'accès au Carnet ou à saisir le matériel des « teuffeurs » si nécessaire. « La saisie des enceintes ? On a l'habitude, les autorités en ont déjà une belle collection, grince un membre de « Korn'g heol ». Ça ne nous fait pas peur. On se repliera dans quatre ou cinq lieux différents qui attireront chacun 500 à 3 000 personnes... Si les gendarmes veulent nous courir après toute la nuit, tant pis. Le plus simple, ce serait de nous assister sur la fête. Ce serait moins fatiguant et moins stressant pour tout le monde. »

Yan Gauchard
Presse-Océan

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Teknival : les teuffeurs veulent Frossay
Les organisateurs du Teknival (ici à Saint-Brieuc) ont une préférence pour le site du Carnet, à Frossay. Le préfet n'est pas d'accord. : Archives Ouest-FranceLes organisateurs du Teknival (ici à Saint-Brieuc) ont une préférence pour le site du Carnet, à Frossay. Le préfet n'est pas d'accord. : Archives Ouest-France
Un collectif veut organiser une grande fête techno les 5 et 6 juillet, y compris si la préfecture ne donne pas son accord. Le site du Carnet a sa préférence.
C'est un secret de Polichinelle enfin dévoilé. Pour leur grand rassemblement du 5 et 6 juillet, les teuffeurs veulent « poser leurs sons » à Frossay, sur le site du Carnet. « C'est un lieu adapté, facile à sécuriser où l'on dérange peu de monde » avance un jeune homme du collectif Korng'h'eol qui planche sur l'organisation. La demande a donc été formulée auprès de la préfecture pour ce terrain qui pourrait accueillir plus de 20 000 fans de techno (Ouest-France d'hier).

Sauf que le préfet a dit non et que le maire n'est pas au courant. « Depuis des années, nous demandons à organiser un rassemblement dans le département. C'est toujours non ! On voit qu'ici, on veut la mort de la culture « free ». Alors qu'en Bretagne, après les graves incidents au Faouët début 2000, on a appris à discuter autour d'une table pour éviter que cela ne se reproduise. »

Voilà donc la situation de blocage. Du coup, ce projet de rassemblement pourrait bien prendre la tournure d'une manifestation militante. « Un teknival, c'est comme une grève pour les salariés. Une façon de dire qu'on existe. Si on nous interdit tout, cela appellera peut-être une réaction », menace un teuffeur. Une réaction ? « On peut très bien se retrouver avec plusieurs rassemblements pendant le week-end. » Cette option compte effectivement ses supporters. On sait que dans le mouvement des free-party, beaucoup veulent revenir à des rassemblements « à l'ancienne », plus modestes et spontanés.

« Si les gendarmes ferment l'accès au Carnet, on aura peut-être quatre ou cinq lieux avec 500 à 3 000 personnes, confirme un connaisseur. Ça tombe bien, certains préfèrent cette solution... » Cette situation serait alors beaucoup plus difficile à gérer pour des forces de l'ordre déjà mobilisées pour la venue du Tour de France... « Si les gendarmes veulent courir toute la nuit après nous, le mieux, c'est de continuer à tout interdire », avance un jeune homme qui plaide en faveur d'une solution négociée avec les autorités. Mais l'heure tourne.

Thomas HENG.
Ouest-France

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vendredi 27 juin 2008
Teknival : Frossay craint surtout l'interdiction
Archives Ouest-France
En décembre 2004, lors d'une rave-party non autorisée au Carnet. Les riverains refusent de subir à nouveau un face-à-face tendu entre gendarmes et teufeurs. Ils préfèrent un teknival autorisé et encadré par la préfecture. : Archives Ouest-France
Les teufeurs veulent se réunir au Carnet les 5 et 6 juillet. Même si le préfet refuse. Les riverains, eux, préfèrent un rassemblement autorisé et encadré à une free-party de 20 000 fans de musique techno.
Une large route d'accès débouche sur une friche désertique. Pas âme qui vive, à l'exception des nettoyeurs qui terminent de dépolluer les bords de Loire souillés par le mazout de Total déversé dans l'estuaire. Le site du Carnet est un coin isolé, coincé entre les communes de Frossay, Saint-Viaud et Paimboeuf, en Loire-Atlantique. Ici, près du fleuve, les teufeurs veulent organiser, les 5 et 6 juillet, le teknival. Avec l'aval ou non du préfet.

La préfecture refuse en effet de payer la facture du festival techno. Elle dit attendre toujours la réponse du collectif Korng'h'eol sur les conditions d'organisation des secours et du nettoyage. Pour l'instant, la préfecture refuse d'autoriser ce rassemblement de 20 000 fans de musique techno qui avait trouvé refuge, les années passées, en Bretagne.

« Il faut être tolérant »

Bien sûr, dans les villages voisins du Carnet, les riverains se seraient bien passés de cette énième visite des « jeunes ». « Deux jours à entendre boum-boum à cinq cents mètres de nos fenêtres, non merci. Si on habite à la campagne, c'est pour être tranquille. La France est grande, qu'ils aillent ailleurs », réagit cet homme, aux premières loges. Une agricultrice se place davantage sur le plan moral : « On ne peut pas encourager les jeunes à devenir des épaves. C'est triste. »

Bizarrement, ces sentiments sont assez rares. Sans forcément se réjouir, la plupart des riverains font preuve de compréhension. « On supportera bien le bruit deux jours, il faut être tolérant. Nous aussi, on a été jeunes. Qu'ils s'amusent... à condition qu'ils ne nous embêtent pas ! »

Le bon sens domine aux abords du Carnet. Pour Madeleine, une voisine, « c'est plus le bazar quand les gendarmes bloquent les routes d'accès. Les jeunes cherchent alors à passer par tous les moyens, en traversant les champs et les marécages. Là, ça devient dangereux. » Beaucoup partagent ce point de vue.

Les riverains préfèrent clairement un teknival autorisé, encadré « par quelques gendarmes » et sécurisé « par la Croix-Rouge et les pompiers ». Ils craignent surtout l'interdiction et un rassemblement sauvage. « Si le teknival n'est pas autorisé, il se déroulera quand même, et alors, ce n'est sécurisant ni pour les jeunes ni pour nous », confirme une habitante d'un hameau, un peu fataliste. « Si beaucoup de gens, comme nous, disent que cela ne les dérange pas, peut-être que le préfet changera d'avis », espèrent Lucette et Guy.

Le souvenir de 2004

A Frossay, tout le monde garde en mémoire la partie de cache-cache entre gendarmes et teufeurs, en décembre 2004. « Le rassemblement avait été interdit, c'était épouvantable. On ne pouvait ni rentrer ni sortir de chez nous. » Alors, « qu'on les laisse passer tranquillement, sinon on a des débordements , insiste un couple d'agriculteurs, pourtant victime de cette free-party sauvage. Mes champs de blé avaient été saccagés. J'ai ramassé des bouteilles de bière pendant trois jours. »

Christophe JAUNET.
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le carnet est un site connu pour ces teufs c'est l'emplacement ideal pour acueillir un tecknival loin des habitations facile a securisé. Mais aussi facile pour les flics de barrer le site car il y a une route d'accé.

ouep,ca sent le cramé tout ca.....
on verra!
jpense que jy serai;)

aller faut espérer que tout se passeras bien et que les autorisations seront delivré a temps sinon vas pour la solution des sites multiple...

Le teknival d'été s'éloigne de Frossay

Trop complexe à organiser en Loire-Atlantique, le festival techno des 5 et 6 juillet pourrait atterrir en Mayenne. Les regards se tournent vers le terrain militaire d'Hardanges.
La machine est lancée, il sera difficile de l'arrêter. Quel que soit le lieu choisi, des milliers de raveurs se préparent à faire la fête en Pays de la Loire, le week-end prochain. Pour autant, le collectif Korn'g'heol a pris acte de la difficulté d'organiser son festival à Frossay, en Loire-Atlantique. Le site du Carnet, les pieds dans la Loire et par ailleurs en phase finale de dépollution (1), est trop dangereux.

Deuxième raison, et pas la plus anecdotique : le passage du Tour de France le lendemain, lundi 7 juillet, dans l'ouest du département. Hier, à l'issue d'une rencontre à la préfecture, les organisateurs se sont laissés convaincre : à eux de proposer un site mieux adapté dans la région.

« Qu'on relâche la pression »

Les regards se tournent alors vers la commune d'Hardanges, 217 habitants, située au nord du département de la Mayenne. Et plus précisément un terrain militaire de 260 hectares, où s'entraîne le 42e régiment de transmissions de Laval. Répertorié en 2005 comme un site possible d'accueil des rave-parties, il avait été envisagé, l'an dernier, pour accueillir le teknival d'été.

Le temps était à la pluie, le terrain boueux, les 40 000 festivaliers se sont finalement retrouvés sur l'aéroport de Saint-Brieuc. « La préfecture de Bretagne a proposé Hardanges l'an dernier : pourquoi le site serait-il refusé cette année ?, argumente l'un des membres du collectif techno. De toute façon, le préfet sait qu'il va falloir lâcher du lest ».

Au-delà de la tenue du teknival, annoncé comme une manifestation « festive et revendicative », les raveurs attendent des engagements à plus long terme sur l'autorisation de soirées multisons de moins de 10 000 personnes. « On veut rentrer dans une espèce de normalité sans être obligés de devenir des professionnels du spectacle. Qu'on relâche la pression, que l'État respecte la loi et ne se mêle pas des manifestations de moins de 500 personnes ! »

« En temps ordinaire,on saurait gérer »

La réunion d'hier semble avoir amorcé le dialogue. Selon les teufeurs, la balle est dans le camp du préfet de région. Ce dernier n'a pas encore réagi à cette nouvelle proposition de site mais aurait évoqué la tenue d'un mini teknival en septembre prochain, en Loire-Atlantique, proposition jugée insuffisante par le collectif.

Le maire d'Hardanges, lui, ne disposait hier soir d'aucune information sur l'arrivée du teknival dans sa commune. Et, à Laval, Anne Frackowiak, directrice de cabinet, expliquait que la préfecture « n'avait été officiellement saisie d'aucune demande », ajoutant : « En temps ordinaire, on saurait gérer. Mais là, cinq jours avant, ça serait trop compliqué à organiser, notamment au niveau des secours. »

La prudence reste donc de mise. Les expériences passées ont montré que, dans les raves, tout peut encore changer jusqu'à la dernière minute.

(1) Les rives de l'estuaire ont fait l'objet d'un chantier de nettoyage après le déversement de 500 tonnes de fuel en Loire, en mars dernier.


Isabelle LABARRE/Arnaud BÉLIER - Ouest-France - 01 juillet 2008

Citation :

16:14 - mercredi 02 juillet 2008
Le Teknival en Pays de la Loire n'aura finalement pas lieu
Le collectif Korn’g’heol vient de suspendre son appel à un Teknival les 5 et 6 juillet en Pays de Loire. "Après une longue période de blocage, les négociations avec la préfecture ont finalement abouti, ce mercredi", indique le collectif. Il a notamment obtenu la mise en place "annuellement de 4 à 5 fêtes « multi-son » à taille humaine avec une dizaine de sound systems".

Cette fois, c'est fini.

js degouté ke sa soit annulé de toute facon les mecs qui travaille a la depollution ont commencé a defoncé la route pour que personne puisse passer et j'ai appris un truc par un pote qui travaille la bas ya des enculé qui ont ecris en enorme sur la route : un bon teufeur = un teufeur mort!j'ai haluciné

bonsoir moi du coup j'ai entendu parler d'un tekos dans le sud de le france.est ce que quelqu'un peut me dire si cette news est a approfondir ou pas? merci

pas de tekos se weekend mais des grosses teufs posées un peu part tout dans la région. bonne teuf à tous